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Question d’immobilier :
La pause des fêtes

Le temps des fêtes est un bon moment pour se détendre avant de vendre en janvier

Par Joseph Marovitch

Cette rubrique, consacrée à des concepts immobiliers, entamera dès janvier une série d’articles explorant le processus allant du premier achat au concept d’investissement immobilier, le tout dans le contexte d’une nouvelle normalité. Il se peut qu’un vaccin soit disponible bientôt, mais le retour à la normale ne se fera pas immédiatement, si jamais cela se produit.

Toutefois, ce serait une bonne chose de faire une pause face au stress d’une pandémie ou d’une politique mondiale insensée. Il y a du bon en perspective lorsque nous aurons surmonté la pandémie grâce aux vaccins et à un comportement social adapté.

C’est le moment idéal pour mettre des biens immobiliers sur le marché, car les taux d’intérêt sont incroyablement bas et les acheteurs sont plus nombreux que les vendeurs. Ces douze derniers mois ont été extrêmement stressants et mettre une propriété sur le marché, l’aménager et permettre à des étrangers d’y entrer alors que nous essayons d’avoir un semblant d’esprit des fêtes peut entrainer un équilibre dans nos vies.

… si nous prenions le reste du mois de décembre pour nous détendre, nous promener, faire de l’exercice et bien manger, nous pourrions constater que la situation s’améliore et que le mois de janvier semble très prometteur.

Les prix de l’immobilier vont augmenter, lentement ou rapidement, mais sûrement. On ne s’attend pas à ce que les taux d’intérêt augmentent de sitôt, car le commerce de détail connaît une année difficile.

Par conséquent, si nous prenions le reste du mois de décembre pour nous détendre, nous promener, faire de l’exercice et bien manger, nous pourrions constater que la situation s’améliore et que le mois de janvier semble très prometteur.

À partir de janvier, je me pencherai sur les processus suivants : achat, vente, préautorisation, hypothèques, inspection, garantie, vices cachés, documents, essais environnementaux, mise en scène, évaluation de la campagne de marché, fixation des prix, journées portes ouvertes, visites, considérations relatives à la revente, collaboration avec les courtiers et leurs motivations, OACIQ, certificats de localisation et bien d’autres choses encore.

Si vous avez des questions sur l’immobilier, qu’elles concernent ou non un article en cours, n’hésitez pas à me contacter via la section des questions ci-dessous ou par courrier électronique, SMS ou téléphone. Vous pouvez toujours me trouver sur LinkedIn ou Facebook.

La semaine prochaine, nous discuterons des gyms à domicile, de leurs avantages et de leur valeur de revente dans cette nouvelle normalité.

Si vous avez des questions ou des commentaires, veuillez vous reporter à la section des commentaires au bas de la page. De plus, pour lire mes articles précédents, cliquez ici.

Prochain article : Les gyms à domicile, la nouvelle tendance


L’état du marché

Selon la catégorie d’âge, il y a soit de l’excitation, soit de l’hésitation à acheter un bien immobilier. Selon une étude récente de l’APCHQ (Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec), les 18 à 34 ans hésitent à acheter une propriété en ce moment puisque la situation d’emploi est précaire et que les revenus sont précaires pour l’instant.

Cependant, pour les personnes plus âgées, il y a une certaine excitation à l’idée que des temps meilleurs s’en viennent. Pour ces personnes qui disposent d’un pécule pour les soutenir durant la pandémie, elles ont peu dépensé ces derniers mois et ont accumulé du capital.

‘L’intérêt pour les surfaces de vente au détail s’est accru récemment. Les investisseurs s’attendent, dès que l’annonce sera faite que la pandémie est enfin contrôlée, à un débordement pour satisfaire des besoins et désirs longtemps refoulés.’

On nous annonce que plusieurs vaccins sont efficaces pour combattre le virus et que l’inoculation a déjà commencé. C’est pourquoi nous sommes enthousiastes à la pensée d’une fin à la pandémie et anticipons le moment où nous pourrons tous retrouver notre monde, socialiser et remettre les rouages de l’économie en marche.

L’intérêt pour les surfaces de vente au détail s’est accru récemment. Les investisseurs s’attendent, dès que l’annonce sera faite que la pandémie est enfin contrôlée, à un débordement pour satisfaire des besoins et désirs longtemps refoulés. Ces entrepreneurs espèrent louer ces espaces aux restaurants, aux bars et aux magasins qui ouvriront pour répondre à la demande. On s’attend à ce que ce sentiment de libération se propage à l’ensemble de l’immobilier et de l’économie en général. Nous devrions donc voir plus de biens immobiliers disponibles sur le marché.

Passez une bonne semaine et restez prudents !


N’oublions pas que les personnes atteintes de cancer sont également vulnérables !

Vous êtes invités à continuer à donner aux organisations suivantes, car il est maintenant plus important que jamais de soutenir la recherche sur le cancer ! Cliquez sur les logos ci-dessous pour savoir comment :

logo Leukemia & Lymphoma Society of Canada - Westmount

Cancer Research Society

 


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Joseph Marovitch - WestmountMag.ca

Joseph Marovitch œuvre dans le secteur des services depuis plus de 30 ans. Sa première carrière en tant que propriétaire et directeur du Camp Maromac, un camp d’été établi en 1968, a consisté à travailler avec des familles d’enfants de Westmount et des environs âgés de 6 à 16 ans. Maintenant, en tant que courtier immobilier, il offre les mêmes qualités de fiabilité, d’intégrité et d’honnêteté afin de protéger les intérêts de ses clients. Si vous avez des questions, contacter Joseph Marovitch au 514 825-8771, ou à josephmarovitch@gmail.com

Hatley



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